Lucien Dhal

Sujet: Lucien Dhal Ven 18 Jan 2008, 18:45

Lucien Dhal
Lucien Dhal Cuirassiersoz1

Citation :: Le jour se lève doucement sur le ville de Saint-Pierre.
Les gens était déjà dans la rue,ils applaudissaient et criaient,dix-huit trompettes,montaient sur des chevaux blancs et portants leur costume de parade,sonnaient à tout rompre.Le 12ème régiment des Cuirassiers faisait une entrée tonitruante dans la ville.
Il se rend en Suisse afin de repousser les autrichiens dans les limites de leurs frontières.
Les cavaliers avaient fière allure dans les cuirasses qui brillaient au soleil,les sabots des chevaux frappaient le sol en cadence et les aigrettes se balancaient.A la tête du régiment,un jeune colonel du nom de Lucien Dhal connu pour ses phrases célèbres.Ce colonel était une personne de caractère solitaire,n'en faisant pas un bon compagnon de veilliée.
La tête en l'air,il regardait les maisons,d'un bien fort mauvais gout pensa t-il,son regard se posait de maison en maison jusqu'à ce qu'il aperçu un visage derrière un rideau.Il continua sa marche en oubliant peu à peu ce visage.

Le soir venu,tout le beau monde de Saint-Pierre,le régiment s'étaient retrouvés dans l'Hotel de Ville afin d'assisté à une fête organisé par monsieur le maire.Certains discutés en dégustants une bonne coupe de vin,d'autres dansés devant l'orchestre et Lucien ne faisait pas chorus avec ces gens-là,il resta donc à l'écart.
Son regard balayait la pièce puis il se posa sur une étrange créature.Il se leva,les yeux pétillants.
-Quelle est belle! s'exclama t-il
Elle passa sous son nez,il l'a reconnu!La fille de derrière le rideau.

Elle était là,à quelques pas.Il prit donc son courage à deux mains,s'avança,fit une révérance,lui prit sa douce main afin de lui faire un baisemain.
-M'accorderiez-vous cette danse,madame? Il rougit,en effet ces mots sont sortis tous seuls
-Oui dit-elle séchement
Il rougit de plus en plus mais n'écoutant que son courage,il l'emmena danser.Il se cherchaient par des gestes,par des mots,la musique accèlere puis elle lui glissa un mot à l'oreille.La demoiselle le prit par le bras,l'emmena à travers des escaliers,des couloirs,des portes puis ils arrivâmes dans une chambre.Elle laissa tombée sa robe et il l'embrassa amoureusement.La nuit fut merveilleuse,magique même entre ce jeune homme et cette belle fille.

Seulement,le matin il se reveilla en sursaut entouré,non pas de la fille de hier soir mais de cinq soldats,qui le prirent par le bras,lui criait,se débattait mais ils le tenaient fortement.Puis le trou noir,un soladt venait de lui donnait un coup de crosse sur le tête.
Il se réveilla dans sa dernière demeure,une demeure entourée de quatres murs de pierre,composait,d'une fenêtre avec barreaux,d'un vieux matelas posé sur un lit et un toilette.La prison.Voilà ce qui l'attendait pour le reste de sa pauvre vie,tout ça parce qu'il à rencontrait une jolie fille qui était simplement la femme du maire,d'une jalousie extrème.