Atla

Voilà, je suis sur un RP en ce moment ( Solo bien sûr. ), et je vais vous le faire découvrir ( Pour lire ce RP à sa source, go here ---> Atla). Je posterait mes nouvelles pages à chaque fois, et je vais créer un topic " Atla : Commentaires" où vous pourrez faire vos commentaires. Ne postez pas sur ce topic, j'aimerais le garder propre ! ^^
Ce que je ferait c'est que, sur mon forum j'écrirait et posterait, puis je copierait et collerait les pages ici.

Je vous résume l'histoire très brèvement :

Une galaxie, superbe, a été ravagé. Une seule planète ( Enfin, les habitants de cette "dernière" planète croient qu'ils sont seuls,...) a survécue à l'assaut : Atla.
Je ne vous en dit pas plus.
Je vais faire en sorte de rendre ce RP de plus en plus interessant, car je trouve que sa va trop vite pour le début, mais,... bon, ce sera à vous de juger.
Aller, c'est parti ! ^^

"-Dépêche toi ! Ils se rapprochent !
- Oui, trois secondes je rafistole mon fusil,...!
- Mais grouille,... AAAARGH !"

Un bruit de détonation se fit entendre.

"- Qu'est-ce qui t'arrive ?! Réveille toi ! Réveille toi soldat c'est un ordre ! Lève toi, lève toi !
- ... Il est trop tard,... Défend notre empire, défend,... Défend ta vie, sauve,... Sauve ta vie,...
- Non, reste avec moi !!!
- Viens, il n'y a plus rien à faire, il est mort ! Dépêche toi, fuyont, ils gagnent du terrain sur nous. Viens, nous devons battre en retraite !"

Les bruit d'explosions, et les déflagrations, ainsi que les tires, et les flammes, les morts et blessés, tout ça démoralisait les soldats. Les machines explosant, ainsi que les véhicules aériens s'écrasant, et ceux terriens implosants de toutes parts, était tellements bruyant qu'un sourd pourrait les entendres. Les soldats courraient en arrière, laissant les blessés derrière eux, ne pouvant être sauvés, ni secourus.
La bataille opposait les Ataliens aux Sqwvarens, grand peuple des étoiles, comme ils sont surnommés par certains adorateurs, pour la plupart indigènes, sur la planète Ragh III.
Les vaisseaux dans le ciel se tiraient dessus, les véhicules au sol, en l'air, et dans l'eau pareil, et les soldats se fusillaient, ou s'égorgeaient.
Une immense bataille, gravée dans les mémoires de ceux qui l'ont vécu, et dans l'âme de ceux qui en sont morts,...

A suivre,...

Les tranchées avaient été creusés par les soldats, ou alors parfois par les obus plasmatiques tirés par l'ennemi. Les chars tiraient, ainsi que les batteries lances-missiles.
Un Sqwvaren, s'approcha d'un soldat Ataliens, blessé :

"-Non, ne me faites pas de mal, je vous en supplie, laissez moi vivre,...!!
-Té nai m'es pair utile, té vos donct cesser dé vivre, dit le Sqwvaren en fesant un effort pour parler comme les Ataliens, dans leur langue, avec un accent Sqwvaren, en roulant les "r".
-Non, non, noooon !!!!"

On entendit un bruit fort, une énorme armure se brisant.
Le Sqwvaren avait planté sa lame laser dans la poitrine, enveloppée d'une "carapace" ( Armure) énorme, du soldat.
Il retira sa lame, regarda vers le front, puis peu de temps après, il dit :

"Archno sa mel, dertrer ro, galamé ra !"
Puis il pointa du doigts l'ennemi.
Des soldats se dirigèrent dans cette direction : Le Sqwvaren qui avait parlé leur avait donné l'ordre d'aller attaquer l'ennemi.

"Deg larota gasta distano dag lerota stima gah'rer, rosto' lemar sienss libarère !"
( La vie nous a donné le dont de tuer, utilisons-le mes frères ! )

La foule de soldat Sqwvaren hurlèrent :

"RARTOGAH'LE META DAN !"
( A mort les impurs ! )

Ils commencèrent à courir.
Leur physique était très particulier : Leur bouche était remplie de dents jaunes, très aiguisées, et leur machoire inférieure était séparées en trois parties égales, indépendantes. Ils avaient deux bras couvert de piques, avec seulement trois doigts au bout des mains. Leur pied n'étaient muni que de quatres doigts : trois devant, et un au niveau du talon, à l'arrière. Leurs jambes était pareilles que leurs bras : couvertes de piques. Ces piques étaient asser dures, longs et gros. Il étaient plus petit au niveau du bassin ( Epaules pour les bras) et au niveau des pieds ( Mains pour les bras), mais étaient plus gros au niveau du genou ( Coude pour les bras). Il avaient de nombreux piques comme ça dans leur dos. Leur abdomène était cependant dépourvu de piques. Leur tête était très allongée, et longue, mais très étroite.
Leur cerveau était donc contenu dans cet espace, et prenait plutôt la forme d'une banane à l'envers, et leur crâne aussi. Leur yeux ( Ils n'en ont que deux) était verts, et étaient asser petit. Leur nez était au bout de leur crâne, tout au bout, et sur le dessus aussi ( Ils ont 6 narines).
Ils avaient une armure chacun, très légère pour les soldats, un peu plus lourde pour les guerriers expérimentés, et très grosse pour les dirigeants, chefs, généraux, etc.
Leurs armes étaient très diverses : Du lanceur de plasma liquéfié, au lames laser à double tranchant, en passant par les boucliers énergétiques au bras, sans oubliés les fusils à cristaux Tangora,... Bref, un arsenal complet, et asser divers.
Leurs véhicules aussi étaient divers et variés.
Ils marchaient avec une énergie qu'il n'y avait que sur leur planète : les cristaux Tangora.
Ces cristaux, en très grands nombre sur leur planète, contient une énergie capable de se propulser, à très grande vitesse ( Utilisé pour les fusils ( Projectiles) et pour les vaisseaux et véhicules ( Propulsion de l'engin).).
Ils marchent aussi avec d'autres cristaux, pour cette fois-ci faire marcher leur ordinateurs, machines, etc. : Les cristaux d'Evergne. Grâce à leur énergie, les Sqwvarens peuvent faire fonctionner leurs machines, et leurs systèmes électroniques, informatiques, ect.

"-Chef, ils arrivent hurla un soldat.
- On va leur plomber la *ronche, dit le chef des troupes Ataliennes."

A suivre,...

Les soldats mirent en place ce qui ressemblait à des tourelles montables, sur des socles munis de pieds. Ils étaient tous dans la tranchée.
Une centaine, environ, de soldat étaient répartis sur toute la longueur de la tranchée.
D'autres soldats isolés ( Des snipers parfois) étaient cachés plus loin, parfois même en haut de colline. Les tenue de camouflage les protégeait du regard ennemi.
La boue, la sueure, les insectes, etc. rendaient la mission très désagréable, et même invivable.
Les conditions étaient désastreuses.
Le ciel était gris, et la poussière restait en suspens dans l'air.
L'atmoshère chaude, humide et pesante avait fait dissipé toute envie de détruire l'ennemi et de combattre aux soldats Ataliens.
L'ennemi était visible de très loin. La plaine de sable, de poussières, de larmes et de sang, ne laissait pas l'ombre au doute quand il s'agissait de voir si la silouette qu'on voyait était bien celle de l'ennemi. On voyait cet ennemi avancer à grands pas, avec des véhicules aériens.
Cela ressemblait à des hélicoptères avec des hélices en cristaux, qui se propulsaient toutes seules. Elles avaient des lances-missiles à cristaux, ainsi que des tourelles sulfateuses à cristaux. L'ennemi surarmé, était bientôt là.
On le voyait, il n'était plus qu'à une centaine de mètres.
Les soldats ne firent plus un bruit.
On les entendait au loin hurler, et crier, en courant vers les soldats Ataliens.
Puis, on entendit un bruit de détonation : des mines !
Les Ataliens avaient pris soin de disposer des mines avant que l'ennemi n'arrive.
A ce moment là, les premiers tirs se firent entendres de la part des Ataliens.
Les tourelles se mirent en marche, et on entendit les balles sifler à travers la plaine.
Les détonations continuaient, et la poussière, ainsi que la fumée cachait l'ennemi.
Puis après quelques tirs, les Ataliens cessèrent le feu.
La fumée de poussière se dissipa, et on vit enfin les ennemis.
Ils étaient presque au complet. Les mines n'avaient presque rien fait.
Il continuaient d'avancer, mais cette fois en marchant.
Les Ataliens continuèrent alors de tirer.
Un soldat sortit de la tranchée, et fonça sur eux, sans casque, avec une épée à plasma à la main. Il trancha quelques Sqwvarens, et les acheva rapidemment, mais un très gros Sqwvaren, dans armure énorme, l'attrapa par le cou, et lui dit :
"-Tai mort est innévaitablé.
-C'est ce que tu crois, espèce de peau bleu !"

D'un coup d'un seul il lui trancha le bras avec son épée.
Le Sqwvaren hurla. Le temps qu'il ne réagisse, le soldat, qui n'était autre qu'un Général le fit tombé, et lui planta son épée dans son torse, surmonté par l'énorme carapace blindée ( L'armure) du Sqwvaren.

"-C'est terminé, peau bleu,... dit le Général victorieux.
-No, non cé n'ést pai terminé,... Té vais mourrir, espècé d'impouré,...
-Cause toujours peau bleu."

Le Général lui trancha la tête.
Les autres Sqwvarens avaient été battu par les soldats dans les tranchées.

"-On les a eu Général, mais il vont reveni avec une autre, ou plusieurs autres escouades.
-Restez dans la tranchées soldats ! Nous les auront ! Pour notre peuple !
-Pour notre peuple, s'exclama les soldats tous en même temps."

Les Sqwvarens n'avaient pas dit leur dernier mot : les véhicules en l'air étaient toujours là.
Par chance les soldats n'avaient pas été touchés par ces véhicules volants, car ces véhicules s'étaient battu avec des chasseurs Ataliens.
Encore heureux !
Bref, la bataille fesait rage, et les morts se multipliaient.
Il n'y avait pas que le front que nous venons de voir ( La tranchée).
Il y en avait pleins d'autres autour ( Souvent des tranchées d'ailleur, mais pas que).

Dans les cieux de Ragh III, la bataille fesait encore plus rage.
Les croiseurs Ataliens, ainsi que les "Battlecruisers" ennemis, comme ils appellent sa, s'affrontaient au dessus de cette planète déjà bien ravagé par la pauvreté, la famine, et maintenant par la guerre.
Les chasseurs volaient en formation, et se tiraient dessus à volonté.
Aucun temps morts ici, c'était tout ou rien.
Les vaisseaux étaient en nombre incalculable.
Ils étaient très très très nombreux.
Peut-être plus que sur la planète.
Un vrai feux d'artifices que nous offrait cette bataille spatiale, un vrai spectacle !

De retour sur la planète mais cette fois-ci, non pas sur terre, mais en mer :
Les bateaux et sous-marins s'affrontaient depuis bien longtemps maintenant.
Les bateaux ennemis étaient bien plus sophistiqués que ceux qu'avaient les Ataliens : Ces bateaux avaient des propulseurs antigravité, et ils volaient au dessus de l'eau.
Ils n'étaient pas dans l'eau, mais flottait au dessus.
Mais vu leur poid et leure taille, ils ne pouvaient se soulever très haut.
Leur artillerie était aussi très efficace.
Mais les Atalien avaient par contre eux le double du nombre de bateau qu'avait l'ennemi.
Les Sqwvarens avaient par contre l'avantage depuis un bon moment déjà.

Les avions/vaisseaux s'affrontaient aussi dans le ciel.
( Pas dans l'espace, dans le ciel.)
Là aussi c'était un vrai spectacle.
Les avions s'écrasaient, tiraient, volaient, explosaient, etc.

Les chars au sol et les batteries lances-missiles se "canardaient" de missiles plasmatiques, de cristaux ( Pour les Sqwvarens) et d'obus lasers.
Qu'importe les dépenses investient dans cette bataille : chacun des deux camps voulait absolument gagner.

La planète est très riche en ressources souterraines.
En effet, son aspect un peu désertique ( A première vue, car on se rend compte que il y a pire, et que certains recoins sont boisés) ne veut rien dire sur ce qu'il y a en dessous.
Sous le sol se cache des ressources uniques, et aussi autre chose,...
En effet, une légende dit qu'une relique sacré, caché par les ancêtres des peuples actuels, se cacherait sous les catacombes de cette planète.
Voici la légende de la relique :

"Un objet, caché au fin fond des sous bassements de la planète Ragh III, fut caché par les peuples sages. L'objet donnera pouvoir, sagesse, et connaissance au peuple qui la touche.
L'objet n'est autre que la "Boussole universelle de l'Empereur Dieu".
Lorsqu'un être touche l'objet, il se voit gratifier de son effort par l'Empereur Dieu, qui lui confère alors la sagesse, le pouvoir, et la connaissance, ainsi qu'à son peuple.
Si jamais deux êtres entres en contact, simultanément, avec l'objet, ce dernier est programmé pour s'autodétruire après un décompte, inscrit sur cet objet.
L'objet sacré fera alors imploser la planète entière dans une unique déflagration : "La Sainte Purification". Cette Sainte Purification aura lieu aussi si l'objet est maltraité, et non respecté.
Pour entrer en contact avec cette objet, il faudra emprunter les catacombes maudites de la planète, se rendant en un seul point : le noyau, là ou se trouve l'objet.
Les catacombes maudites feront en sorte que personne ne passe, ni ne ressorte de cet endroit sacré par les grands esprits sages.
Les clés des catacombes sont dispersés dans la galaxie, et les serrures gardant les catacombes ne sont ni enlevable, ni neutralisable, sans une clé adéquat.
Chaque entrée des différentes catacombes, dispose d'une seule et unique clé [...]"

En résumé : Des clés servent à ouvrir des portes à la surface de la planète, des portes gigantesques. Chaque porte mène à un couloir, appellé Catacombe maudite, et ces couloirs mènent tous en un seul point : Le noyau de la planète, là où est dissimulé la relique.

Les Ataliens et les Sqwvarens ont chacun une clé. Ces clés ne sont autre que des sphères en or, avec des inscriptions dessus. Les clés doivent êtres "activés" et placés dans un orifice, devant la porte adéquate.
La question est : Comment activé ces clés ?
Les portes ne sont pas dur à trouver vu leur taille énorme.

Bref, la bataille fesait rage sur tout front.
Qui allait bien pouvoir gagner cette bataille,...?

Après 11 jours de lutte acharné, les soldats n'en pouvant plus, dans les deux camps, ainsi que le nombre d'effectifs diminuant,...
Dans la tranchée N°2 :

"-Général, ils ont réussi à aller dans la première tranchée, s'exclama un soldat.
-Bombardez-les avec vos grenades à Proton ! Appellez aussi la Garde Aérienne, qu'ils les fassent sortir de là pour que nous prenions l'avantage sur eux ! Appellez tous les véhicules aériens de types bombardiers, et demandez une frappe aérienne du croiseur le plus proche !
-Le croiseur ne répond plus.
-*erde, c'est pas vrai !
-Les avions arrivent mon Général, dit un caporal.
-Vous avez entendu tous ?! Balancez toutes vos grenades Protons sur eux, hurla un commandant."

Les tires ennemis incessant siflait dans les oreilles des soldats Ataliens.
Ils balançaient leurs grenades, en fesant très attention de ne pas trop sortir de la tranchée, pour ne pas se faire avoir par le feu ennemi.
Puis tout à coup, plus aucun bruit de la part de l'ennemi.
Plus de bruit de tires, ou d'explosions,...
Le silence totale.

"-Qu'est-ce que c'est que ce bins ?!
-On ne sait pas mon Général, dit un soldat.
-Contactez un de nos snyper, dites nous ce qu'ils font.
-Oui Général,... C'est bon on les a, je vous laisse écouter, dit le même soldat.
-Mon Général, dit une voix androgyne, causée par des interférences.
-Soldat, veuillez nous donner un compte rendu de la situation à l'intérieur de la tranchée N°1.
-Oui mon général, je vous envoie une image termique. Comme vous le voyez, une main dépasse, elle tient un drapeau de couleur blanche.
-...
-Dois-je abattre l'individu ?
-Non, laissez-le. Merci. Fin de transmission, dit le Général en coupant son appareil.
Contactez les bombardiers, dites leurs de ne pas attaquer, avant que je leur ai dit. Dites leurs de voler à proximité, c'est tout, qu'ils ne tirent aucun feu.
-Oui monsieur, dit un soldat en les contactant.
-Je veus aussi 5 soldats avec moi, qui m'accompagneront là bas."

Après quelques hésitations, 5 soldats furent choisit.
Le Général, avec ses 5 valeureux soldats se dirigèrent dans la tranchée N°1, armes à la main.
Un Sqwvarens, seul, dans une armure gigantesque sortit de la tranchée.
C'était lui qui tenait le drapeau.

"-Que voulez-vous peau bleu, je vous écoute.
-Né m'aippelez plou jamé comme céla, ou jé vous extérmine !
-Pardonnez moi pour ce surnom. Alors, que me voulez vous ?
-Jai pense quai nous poumons coopairé. Né Soldats né sont plou en mésure dai combattre. Nous pourions chaircher lai rélique ainsemble,... Qu'ai dites vous, Yénéral ?
-Hum,... Nous allons signer un traiter, stipulant que vous ne nous tirerez pas dessus lors de cette coopération, et nous de même.
-Jai déjé préparé cé traitai, Yénéral. Lé voici."

Le Général le lit, et signa.
Le traité n'était pas corrompue.

"-Voilà. Alors, maintenant nous coopérerons, durant toute la durée de la mission.
- Oui, aixactement, Yénéral."

Les affrontements dans l'espace, au sol, dans l'eau, et en l'air avaient cessé.
Plus aucun tir n'avait été tiré depuis que les ordres ont été donnés de cesser le feu.
Sur terre, les troupes Ataliennes, et Sqwvarens, montèrent dans des hélicoptères Sqwvarens, suivi par des véhicules aériens Ataliens.
Leur prochaine destination :
Les catacombes.
Ils voyagèrent loin, très loin sur la planète ( Environ 2500Km) avant de trouver une porte.
La planète étant très grande, les portes sont plus dures à trouver.
Il arrivèrent devant ce grand cratères d'au moins 10Km de diamètre.
Et un peu plus bas, il y avait une porte ( De au moins 500m de diamètre) blindée, immensémment résistante.
Un Halo métallique entourait le cratère.
Sur ce Halo il y avait des ordinateurs du temps des ancêtres.
Ils fonctionnaient encore.
L'Hélicoptère se posa à proximité, et les autres appareils en vol le restèrent.
Le Général Atalien, et le Général Sqwvarens, ainsi que dix de leurs meilleurs soldats sortirent de l'hélicoptère d'assaut, pour se diriger vers un ordinateur de contrôle.
Il n'y avait qu'un écran, rien d'autre.
L'écran n'avait pas l'air de marcher : il était tout noir.
Le Général Atalien toucha l'écran, et d'un seul coup l'écran passa du noir au bleu, dans un effet de fondu. Il y avait pleins de petits composants à l'écran qui se baladaient.
Des écritures de l'ancien temps s'affichaient petit à petit.
Puis une sorte de scanner sortit du blindage du Halo.
Il scanna le Général, puis se replia à l'intérieur du Halo.

"Bienvenue messieur, dit une voix de femme androgyne. Je suis le système informatique d'auto défence de l'objet, de contrôle du sas menant aux catacombes, et de contrôle du noyau. Que puis-je faire pour vous ?"

Les soldats se regardèrent tous entres eux, ainsi que les deux Généraux.
Puis le Général Atalien prit la parole :

"-Vous pouvez nous parler ?
-Affirmatif, répondit très clairement la voix.
-C'est vous le Halo ?
-Je suis le système contrôlant le Halo, ainsi que le sas des catacombes, le système de défence de l'objet, et le noyau.
-Ouah ! Une machine qui parle,...
-Un "système" serait plus adéquate, monsieur, dit la voix.
-Très bien, nous voudrions aller jusqu'à l'objet.
-Avez vous la clé du sas N°55501 ?
-Oui, je crois.
-Si ce Halo est le numéro 55501, mais alors combien il y en a, s'exclama un soldat.
-Il y a 60000 Halo sur cette planète monsieur, dit la voix.
-Incroyable, cette planète est un vrai gruyère pleins de trous, pleins de tunnels, s'exclama le même soldat.
-Bref, où dois-je mettre la clé, reprit le Général Atalien.
-Insérez-le dans le système d'ouverture du sas, dit la voix.
-Où ai cet systaime d'ouvairtoure, demanda le Général Sqwvaren.
-Le système d'ouverture se trouve sur le sas, en son milieu monsieur, dit la voix.
Pour l'ammener jusqu'au centre vous devez faire glisser la clé dans la tuyau que vous trouverez sous mon unité central. Mais avant d'y faire glisser la clé, vous devez l'activé.
-Comment active-t-on cette clé, demanda le Général.
-Je ne suis plus autorisé à répondre à vos questions, messieurs, dit la voix.
Bonne journée.
-Non attendez ! Rallumez vous, cria le Général, en frappant sur l'écran."

Tous étaient en train de réfléchir comment ils pourraient l'ouvrir.
Tous ce qu'il y avait dessus n'était que des inscription en forme de cercle.
Tout à coup, le Général eu une idée : Un Rubi-cube.
L'idée farfelu du Général allait peut-être marcher.
En fait cette clé sphèrique, n'était rien d'autre qu'un rubi-cube, mais en version sphèrique. Il fallait tourner tous les cercles incrit dessus, et parfois appuyer dessus, pour que cette clé s'ouvre. Alors il tourna les cercles gravé dessus, il appuya dessus, mais finallement, au bout de trois heures d'acharnement, rien.
Puis tout à coup, il l'a fit tombé, sans le vouloir, et la clé "s'ouvrit".
Une lumière verte s'échappait d'elle, par les fissures formant les inscriptions dessus.
Ils décidèrent alors de l'envoyer dans le tuyau.

Ils firent glisser la sphère dans le tuyau.
Elle roula jusqu'à ce qu'elle arrive dans un petit creux, dans la porte blindée.
Puis une fois à l'intérieur du creux, l'immense porte s'ouvrit.
Les soldats regardèrent cette portes s'ouvrire, du haut du Halo.
Lorsque la porte fut complètement ouverte, la voix revint :

"Félicitation, messieurs, vous avez ouvert la porte. Vous pouvez maintenant vous dirigez dans les catacombes. Durant votre trajet je serait votre guide, je vous suivrait par ma voix dans les entrailles de la planète, pour vous aidez à trouver l'objet. Vous devrez résoudre des énigmes une fois à l'intérieur, pour acceder aux étages suivant. Il y a toute une série d'étage, ayant chacun une énigme. Il y a en tout 4 étages, donc 4 énigmes.
Si vous parvenez à résoudre l'énigme posé à l'étage où vous vous trouvez, vous gagnerez le droit de descendre à l'étage suivant. Simple non ?
Faites attention, il y aura des pièges dans les tunnels qui relient les étages entres eux. Je ne pourrait pas vous aidez pour detecter les pièges, ni pour les désactivés. Vous serez seuls dans les tunnels, ma voix ne vous accompagnera pas. Sur ce, veuillez descendre messieurs."

Le sol se transforma, sous le pied des soldats, et on aperçu deux trapes.
Deux trapes s'étaient formés, avec des escalators.
Les soldats prirent ces escaliers pour descendre jusqu'à la porte.
Les escaliers se croisaient dans le vide, et avat une forme de tirbouchon.
Puis tout à coup, il y eu un énorme bruit, comme un mécanisme se réactivant après des milénaires,...
La voix revint :

"Bien, ne vous inquiètez pas pour ce grand bruit, c'est le système qui se réactive.
Cela fait très longtemps que personne n'est descendu, et donc les systèmes ont "dormis" durant très longtemps. Mais maintenant ils se réveillent."

Tout à coup, les escaliers tournèrent.
Un escalier tournait dans le sens des aiguilles d'une montre, et l'autre dans le sens inverse.
Les escaliers tourbillonèrent, et leur vitesse augmentait.
On aurait dit que les escaliers creusaient dans le sol, à l'intérieur, après la porte.
En moins de quelques secondes, les escaliers furent arrivés.
Ce procédé leur avait fait gagner du temps, beaucoup de temp.
La distance à parcourir était grande, et ce mécanisme les avaient bien aidé.

Enfin ils y étaient rendu.
La voix revint leur parler :

"Bienvenue à l'étage A. C'est ici que vous aurez affaire à votre première énigme, avant de pouvoir continuer. Je vous souhaite bonne chance !"

L'énigme se dévoilla, sur une sorte d'écran holographique rectangulaire, avec les coins arrondies. Cet écran, montrait des écritures étranges, des signes dont on ne pouvait pas comprendre la signification. Puis tout à coup, les signes, dans un effet de retournement des lettres, ce changèrent en lettres. Les lettres étaient celles de la langue Atalienne. Puis une voix d'homme androgyne, se fit entendre. Elle provenait de l'écran.
Et une tête, avec un visage étrange, apparu sous forme holographique, devant le petit groupe d'Atalien et de Sqwvarens.
Il dit :

"-Bienvenue messieurs.
-Oua,... C'est dément, dit un jeune soldat.
-Je me nomme Unité de commandement holographique des couloirs-catacombes N°55501, mais vous pouvez me surnommer UCHC-C:N°55501.
-Vous n'avez pas de nom plus court, demanda le Général Atalien.
-Vous pouvez aussi m'appeller, CUCH.
-CUCH, s'exclama un soldat.
-Oui, CUCH, est UCHC avec les lettres qui ont changé de place."

Les soldats eurent quelques éclats de rire étouffés.
Puis l'hologramme reprit :

"-Je vous accompagnerait durant les énigmes.
Des questions ?
-J'en ai une, dit un soldat. Êtes vous seul pour vous occuper des énigmes ?
-Oui et non. En fait je partage un programme avec tout un tas d'autre moi, d'autre hologrammes. Mais ils ne sont pas moi. Nous sommes, frère on peu dire.
-J'ai une autre question : C'est vous qui nous accompagnerez durant le trajet des catacombes, pour aller à l'étage inférieur ?
-Non, ce sera la voix que vous avez entendu. Elle vous surveille, ses yeux sont partout. Elle vous voit, vous entend, vous sent,... C'est elle le programme principal qui vous guide. Bien maintenant, j'attire votre attention sur cette écran. L'énigme est :

"Petit homme vert disparait : petit garçon court, petit garçon meurt.
Que s'est il passé ?"

Vous pouvez me poser des questions, pour que je vous donne des indices.
Mais à vous d'y répondre.
Travaillez en groupe."

Les soldats s'asseyèrent part terre, en cercle.
Ils échangeaient des points de vues, des idées.
Ils réfléchissaient tous, puis la voit dit :

"Cette énigme est bien sûr du temp des ancêtres divins, de vos ancêtres.
Mes créateurs,..."

Tous se creusèrent la tête pour essayer de trouver la réponse à cette énigme mystérieuse,...
Puis un soldat pris la parole, et dit à l'hologramme les regardant réfléchir, flottant dans les airs :

"-Pouvons-nous poser une question ?
-Bien sûr, vous avez le droit à quelques indices.
-Combiens, demanda le Général Atalien d'un air sérieux, autoritaire, et concentré.
-Autant que vous voulez, mais je ne vous donnerai pas la réponse, bien évidemment, dit la voix holographique androgyne provenant de l'hologramme, en riant.
-Yai ouné questionné, dit le Général Sqwvarens.
-Je vous écoute, dit l'hologramme.
-Aiské l'hommé vair an question ai ouné extro-terrestré, demanda le Général Sqwvarens.
-Non, dit la voix holographique, maintenant redevenu sérieuse."

Les soldats se creusèrent la tête, et posèrent plusieurs questions :

"-Est-ce que c'est l'omme vert qui tue le garçon, demanda le Général Ataliens, dos à l'hologramme.
-Non, répondit d'un sérieux asser effrayant l'hologramme.
-Hum,... Et est-ce que le garçon,... Non, non, oubliez sa, dit le Général Atalien.
-Comme vous voudrez, monsieur, dit la voix androgyne de l'hologramme."

Tous réfléchissaient, sauf bien sûr les Sqwvarens, ayant plus de mal à parler dans la langue des Ataliens. Seul leur chef comprennait cette langue, parmi eux.
Bref, l'énigme n'était toujours pas résolue.

L'hologramme les regardait, sérieux, du haut de ses quelques mètres en l'air.
Puis il prit la parole :

"Vous avez tout votre temps, mais faites attention : J'espère que vous avez prévu des provisons, car si vous y passez des jours, et des jours, pour résoudres les énigmes et problèmes de ces catacombes, vous allez avoir grand faim,..."
Au bout d'une demi-heure, un soldat se mit à chanter :

"-So-ldat, réveille toi,
So-ldat, bat toi,
Pour ton peuple,
So-ldat, a-pprend,
So-ldat, sur-vis,
Pour ton peuple,
Tu en seras, récompenser,
Tu en seras, gratifié,...
-Je me souviens de cette chanson, on la chantait à l'école millitaire, dit un autre soldat.
-Toi aussi tu t'en souviens, s'exclama le soldat l'ayant chanté.
-Bien sûr, comment oublier cette grande époque,... Ah lala, que de souvenirs,..."

La chanson avait fait sourrir tout les soldats Ataliens.
Tous étaient passé par l'école millitaire, et ils avaient tous ressus le même enseignement partout. Et l'hymne de leurs écoles était le même pour toutes les écoles millitaires.
Il devaient, à l'école millitaire, la chanter trois fois de suite, le matin très tôt, et ils devaient la connaitre par coeur, sinon c'était punition sévère.
Elle n'était pas très mélodique, mais cela redonnait le courage aux soldats les plus démunis, les plus désespérés,...
Une simple chanson, redonnais sa force à un soldat.

Les Sqwvarens eux avaient beaucoup à apprendre des Ataliens.
Leurs écoles étaient très sévère, très dures. Leur société, était ainsi faites : Les plus fort vivaient, les plus faibles servaient aux plus fort de nourriture, ou presque.
Parfois pas de nourriture, mais de domestiques maltraités, ou de soldats, si aucun maître.
Les plus faibles, les plus malades, les plus maigres, et les plus pauvres, étaient parfois abattu comme de vulgaire bêtes, pour nourrir les plus forts, ou pour revêtir leur peau. Ils récupéraient tout : Des yeux, aux pieds, en passant par les dents, sans oublier les ongles de ces malheureux, pour faire toutes sortes d'objets, destinés aux plus riches.
Un monde de brute, ou le mal triomphait toujours, et ou ceux qui avaient une lueure d'espoir de voir les plus riches à leur place, ne faisaient pas long feu,...

Les soldats se détendaient un peu, en parlant de leur jeunesse.
Ils se racontaient leur blagues qu'ils faisaient dans le temps, les difficultés, les épreuves, etc.
Bref, cela partai un peu dans tous les sens.
Le Général Atalien se leva, regardant ses soldats parler, et rire, alors que la situation était des plus sérieuse. Il monta sur une petite marche en hauteur, et il leva les bras, et se prépara à hurler aux soldats de stopper ces discussions futiles, et sans importances pour le moment. Certains des soldats virent les bras du Général, et se retournèrent à ce moment là. Quand le Général Atalien voulu crier l'ordre de stopper de parler, il entendit un petit bruit strident, à côté de lui, et lorsqu'il voulu parler, aucun son ne sortit de sa gorge. Ses cordes vocales avaient l'air d'être bloqués, rien ne sortait de sa bouche, aucun son. Il fut très surpris, et tenta de hurler, mais rien n'y faisait. Les soldats intrigués par ce bruit, et par l'impossibilité qu'avait leur Général de pouvoir parler, se retournèrent tous vers ce même Général.
Puis le Général, ayant tout essayer, sans aucun succès pour essayer de produire ne serait-ce qu'un son avec ses cordes vocales, fit un demi tour sur sa gauche, et vit le Général Sqwvaren, tenant un objet, quelque chose ressemblant apparemment à une télécommande, et le pointant en direction du Général Atalien, et plus précisémment de sa gorge. Il avait un doigts d'enfoncer sur un bouton, sur la télécommande. Puis au bout de quelques secondes, il retira son doigts de ce bouton, et le petit son strident cessa. Puis le Général dit : "Mais que m'est-il,...? Mais je parle !"
Le Général Ataliens était asser content d'avoir "Retrouver" sa voix.
En effet, l'appareil du Général Sqwvaren, pouvait supprimer les sons sortant des cordes vocales de l'être vivant visé, pour faire simple.
Puis, le Général Sqwvaren, avec son énorme armure faisant pas mal de bruit, monta sur la marche, et alla à côté du Général Atalien. Lorsqu'il fut à côté, il s'approcha doucement de son oreille, et lui dit à voix basse :
"-Nous dévrions féré oune pose, Yénéral,... Célà férai dou bien à nous solders, aites-vous d'aiccord Yénéral ?
-Hum, eh bien,..."
Il regarda ses soldats, et vit des soldats fatigués, et ayant besoin de parler, pour décompresser, et destresser,...
Il dit alors :
"Entendu. On fait une pause."

Le Général Atalien, avec sa grosse armure, s'asseya sur la marche, et l'énorme Général Sqwvaren s'asseya fit de même, à côté du Général Atalien. Il regardèrent leurs soldats. Puis le Général Sqwvaren dit au Général Atalien :
"-Quément vous aippèlez-vous Yénéral ?
-... Je me nomme Maximilien VI,... Et vous ?
-Xarus Largh Tan Chon.
-Ah,... d'accord.
-Vos solders sont trais bien entrainait Yénéral.
-Merci, les votres aussi sont,... Musclés !
-Aaah, c'ai notré race qui ai commé sa ! Nous sommé tous mousclé sour notré planète d'origine,... Maime les anfants sont mousclait à les naissances,...
-Nous comparer nous sommes maigre, et petit,...
-Mais vous aite miau armé, Yénéral,... Lai forcé physique né fait pai tout, dans oune guerre. Le principole, c'ai lé moral dé troupé,...
-Vous avez bien raison là dessus, Général Xarus."
Il regarda ses soldats se détendrent, puis repris :
"-Vous avez des gosses ?
-Moué ? Bian sour Yénéral,... Enfin y'avait, malhoureusement,... Ils sont moré dé faim. Y'en avé soux ( 6 ) mé ils sont tous moré,... Et vous Yénéral, en avé vous,...? Ou en avié vous,...?
-Oui,... 2. Un garçon et une fille. Vivants, au chaud à l'école, à l'abri sur notre planète natal.
-Vous y'en avé dé les chance,... Moi yé dit qué les plou belle des chosé, cé les famille. N'est-cé po, Yénéral ?
-Oui, vous avez encore raison !"

Max, le Général Atalien, regardait l'hologramme parler avec les soldats, quand tout à coup, a une vitesse époustouflante, il se leva d'un bon, alla voir l'hologramme en courant, et dit :
"Un feu !"

"-Comment, demanda l'hologramme.
-Oui, la réponse à l'énigme, s'écria le Général Atalien.
-Pouvez-vous justifier monsieur ?
-Bien sûr. L'énigme était : "Petit homme vert disparait : petit garçon court, petit garçon meurt.
Que s'est il passé ?"
La réponse est simple : L'homme vert en question n'est autre qu'un feu de signalisation, et c'est un feu vert, signalant que l'on peut passer. Lorsque ce dernier disparait, le rouge s'active automatiquement, non ? Donc le petit a traverser, et c'est fait renverser par un véhicule. Et le feu en question n'est pas celui pour les véhicules, mais pour les piètons ! Donc il est normal qu'il se soit fait renverser. Ai-je bon ?
-Bien monsieur, vous avez résolue cette énigme !"

Les soldats n'en revenait pas : Comment leur chef avait bien pu avoir une idée comme celle là ? Penser à un feu de signalisation dans une situation pareille,...
Un soldat lui demanda :

"-Mais chef, comment avez-vous pu avoir cette idée ?
-C'est simple, j'ai réfléchi à la socièté des ancêtres, et ai analysé tout ce qui pouvait être vert, et qui aurait pu être la cause d'une mort d'un être intelligent. Les ancêtres roulaient autrefois dans des véhicules au sol, et à roue. Ils avaient aussi des codes, pour qu'il y ai une sécurité maximale sur les routes, dont les feux de signalisations. Pendant que je réfléchissait, en même temp je discutait aussi avec le Général Sqwvaren, et cela à fait comme un déclic dans ma tête. Moi même j'ai trouvé cette idée un peu étrange quand j'y ai penser, mais en y pensant on se rend compte que c'était la seule possiblité. Et je suis bien content de l'avoir trouvé !
-Ouah, je ne vous croyait pas aussi doué pour les énigmes monsieur le Général, dit un autre soldat. Bravo monsieur, grâce à vous on va pouvoir descendre plus bas !
-Oui, merci monsieur, dit un autre soldat.
-Oh mais ce n'est rien !
-Je ne veut pas parraître Rabat-joie, mais on est pas encore dans le noyau, donc ne nous réjouissons pas trop vite. Surtout que les catacombes sont apparemment gorgées de pièges, alors restons vigileant, dit un soldat d'un ton autoritaire emplie de sagesse, et avec une voix grave, résonnant sur les parois de la pièce.
-Oui, Marco à raison, on ne doit pas baisser notre vigileance. Restons sur nos gardes, ok les gars, dit le Général Atalien.
-Oui chef, s'écrièrent tous en même temp les soldats.
-Bien, comme vous avez réussi à résoudre l'énigme, je vais vous ouvrir la grande porte, menant aux catacombes, messieurs, dit l'hologramme. Nous nous retrouverons peut-être en bas, pour la prochaine épreuve.
-Epreuve, demanda un soldat surpris.
-Oui, il y a des énigmes, mais aussi des épreuves. Vous verrez par vous même, dit la voix holographique. Aller, descendez dans ce puit, et vous accèderez au second niveau de votre périple, dit-il."

Une grande porte s'ouvrit.
Une porte encastré dans le mur, un mur très épais. C'était une vrai porte blindée !
Cette lourde porte se souleva, en faisant trembler le sol, sous les pieds des soldats.
Il y eu comme un grand tremblement de terre.
Puis, une fois la porte ouverte, une immensité noir se dressait devant les soldats.
On aurait dit une grotte.
C'était pleins de toiles d'araignées, et d'insectes en tous genres.
Lorsque le Général pointa sa lampe en direction de cette grotte, rien n'était éclairé. Rien ne reflétait la lumière, et la lumière n'attérissait sur aucune parois, ou objet.
On y voyait strictement, et absolument rien.